Comment s’alimenter pour lutter contre une maladie chronique ou s’en prémunir ? Dans cet article, vous découvrirez les concepts de nutrition indispensables à connaitre pour ne pas faire d’erreurs dans vos choix alimentaires.
Que vous soyez atteints ou non par une maladie chronique, à la fin de la vidéo vous serez en mesure de déterminer les aliments bons pour vous et ceux à éviter pour rester en santé ou la retrouver.
Sachez que les conseils de cet article ne constituent en rien un avis médical. Pour toute démarche santé, commencez toujours par consulter votre médecin.
Ceci étant dit, je vous propose aujourd’hui dans de découvrir les principes scientifiques d’une bonne alimentation et de comprendre pourquoi ils sont porteurs d’espoir dans l’accompagnement ou la prévention des maladies chroniques.
Restez jusqu’à la fin, vous découvrirez des conseils précieux pour appliquer efficacement cette nouvelle manière de s’alimenter.
Les maladies chroniques toucheraient rien qu’en France 15 millions de personnes. Ces chiffres incroyables viennent directement du haut conseil de la santé publique.
Face à une épidémie qui touche un quart de la population française, aucun traitement satisfaisant n’a été trouvé à ce jour par la médecine conventionnelle.
(Personnes en douleur) Douleurs articulaires, fatigue, anxiété, désordre cognitif (troubles de l’attention, de la mémoire, des fonctions exécutives), sont le quotidien des personnes atteintes de MC, mais aussi trop souvent de personnes non malades.
(Musique magique) Devant ce désert médical, certaines approches notamment alimentaires ont émergé et se sont faites remarquer pour leurs bons résultats. Certains médecins se sont en effet posé la question: et si tous ces symptômes étaient liés à une mauvaise alimentation ? (Photo d’assiette neutre)
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Mécanisme de digestion et régime de Seignalet
Du diabète en passant par les maladies cardiovasculaires, certains cancer, la sclérose en plaque, mais aussi fibromyalgie dont j’ai fait une vidéo dont le lien est dans la description, etc.), un docteur a décortiqué pendant plus de 20 ans les mécanismes et les points communs de ces maladies (photo de science, de personne qui s’interroge, de statistique),
De toutes ces recherche, il ressortira u un régime alimentaire qu’il appliquera avec un grand succès auprès de plus de 2500 patients qui verront leur symptômes diminuer fortement ou simplement disparaitre (photo de personne heureuse, respire, ahhhh).
Il s’agit du Docteur Seignalet.
Mais le régime Seignalet ou hypotoxique, en quoi consiste-t-il et comment nous aide-t-il à comprendre ce qui constitue une bonne alimentation ?
Il consiste à supprimer les produits transformés par l’industrie (plats préparés, biscuits, gâteau industriels, etc.) ou naturellement nocifs pour l’homme: les produits laitiers et les céréales mutées (notamment le blé et le maïs).
Mais vous allez me dire, pourquoi supprimer ces aliments en particulier ? Le principe est relativement simple.
Pour bien comprendre la logique, il faut tout d’abord faire un petit détour par le processus de digestion. Pour simplifier, je l’ai divisé en trois étapes.
(Musique s’arrête) Etape 1: commencer par comprendre ce qu’est une enzyme digestive.
(Musique reprends) Les enzymes digestive sont comme des outils qui permettent de fractionner, de couper (on dit lyser en terme scientifique) les aliments lors du processus que l’on appelle la digestion. Ces enzymes sont présentes tout le long du tube digestif (dans la salive, le suc gastrique, la bile, sucs pancréatiques et suc intestinal).
La Nature et la Quantité de ces enzymes disponibles pour la digestion peuvent varier d’un individu à l’autre. Cela dépend notamment du patrimoine génétique que chacun a reçu de ses ancêtres, si bien que l’on parle de (pppp) patrimoine enzymatique. (Faire dérouler les mains + Afficher texte)
(Musique se coupe, aparté, dire phrase rapidement, zoom) C’est en effet au fil du temps et de la nature des aliments rencontrés dans son environnement que s’est constitué un capital enzymatique, une capacité à digérer les aliments tel ou tel aliment.
Pour simplifier, disons que chaque enzyme est spécifique à un type d’aliment. C’est pourquoi il en existe de nombreuses sortes.
Etape 2 Après la digestion vient normalement l’absorption
Le fait de fractionner les aliments permet ensuite à ceux-ci d’être absorbés par l’organisme. En effet, les substances digérées, entendez les aliments rendus plus petits par les enzymes (glucides, protéines et certains lipides: l’écrire sur vidéo: substances digérées = …), sont alors absorbés de manière sélective par les intestins et arrivent dans le sang pour aller vers le foie et ensuite être distribué pour nourrir l’ensemble de l’organisme.
Cette sélection est primordiale puisque les intestins sont en fait une barrière entre l’environnement et l’organisme. A ce propos, vous avez surement déjà entendu parlé de « barrière intestinale ».
Etape 3: Pas de digestion = stagnation et intoxication
Que se passerait-t-il si nous ingérions des aliments dont nous ne disposons pas des enzymes spécifique pour les digérer ? Je vous l’ai dit, nous disposons d’enzyme en nature et en nombre limité.
(Zoom) S’il n’y a pas les enzymes nécessaire pour tel ou tel aliments, alors ils ne pourrait logiquement pas être digérés, n’est-ce pas ?
Eh bien c’est tout à fait cela et cette explication est au coeur de l’approche du docteur Seignalet et de son régime.
Le fait que nous ne disposions pas de certaines enzymes pour digérer l’intégralité de certains aliments (nous les savons vus) engendre une stagnation d’aliments partiellement digérés.
Les aliments non digérés vont générer alors une prolifération de bactéries qui vont attaquer les cellules qui composent l’intestin et notamment les jonctions serrées dont la fonction est d’empêcher le passage dans le sang de molécules néfastes pour l’organisme (toxines bactériennes et justement les aliments partiellement digérés dont je vous ai parlé tout à l’heure).
Les jonctions cèdent alors sous les attaques et une brèche s’ouvre. Les molécules indésirables pénètrent dans l’enceinte de l’organisme. Elles se faufilent et entrent dans la circulation sanguine.
Le foie, l’organisme de détoxication, se veut un second rempart, mais ils se retrouve rapidement submergé. Les substances toxiques vont alors circuler librement dans le sang et se déposer dans les organes où elles s’accumuleront.
(Zoom) Le Docteur Seignalet parle alors d’intolérance alimentaire et de maladie d’encrassage. Ces mêmes déchets perturbent en effet la physiologie, le fonctionnement des organes, sapant ainsi les rouages du corps (rouages barrés, cassés?). Ces perturbations créent de l’inflammation chroniques notamment mise en cause dans l’ensemble des maladies chroniques (rouge ouin ouin).
(Zoom, arrêt musique) Il est à noter que les perturbations et les dommages générés par ces déchets dans les organes sont d’autant plus importants que la personne a une sensibilité héritée au niveau de cette organe (les scientifiques parlent de susceptibilité génétique). Cela peut par ailleurs expliquer pourquoi, pour une même cause qui semble être l’inflammation chronique, les personnes atteintes de maladies chroniques la développent sur un organe ou un système et pas un autre.
Mais revenons à notre sujet et le passage des molécules néfastes à travers l’intestin grêle.
Il est important de savoir que l’étanchéité de l’intestin grêle est imparfaite chez l’ensemble de la population.
C’est l’exacerbation de ce mécanisme qui rend le procédé pathologique, transformant les intestins en une véritable passoire au lieu d’une barrière protectrice de l’extérieur, et affolant l’organisme et notamment le système immunitaire, qui doit alors faire face à des ennemis de toute part.
Par l’illustration du mécanisme de digestion grâce les enzymes et les conséquences si celles-ci n’opèrent pas leur fonction, on comprend que l’état de la barrière intestinale est primordial pour la santé de l’ensemble de l’organisme
Le régime du docteur Seignalet permet souvent de rétablir l’intégrité de la barrière intestinale et un retour à la santé. Les résultats qu’il a obtenu chez ses patients attestent de l’efficacité de son régime.
90% de succès chez les patients atteints de fibromyalgie, 94% pour patients atteints d’arthrose, 98% pour la sclérose en plaque (source L’alimentation ou la 3ème médecine: mettre résultats, 5ème édition). De nombreux témoignages sur internet attestent également de l’efficacité de ce régime.
Face au danger que représente une alimentation moderne inadaptée et la porosité intestinale qu’elle engendre, il est donc indispensable de changer d’alimentation. En plus de changer d’alimentation, nous verrons dans la deuxième partie qu’il est également possible d’aider l’organisme dans son entreprise de retour à la santé.
Santé des intestins: vers une écologie nutritionnelle
Alimentation moderne > intestins poreux > passage des toxines > Maladies (réaction en chaine au coeur de la théorie de Seignalet)
Nous avons vu que l’apport d’une alimentation inadaptée à notre physiologie que ce soit de par la qualité, mais aussi la quantité des aliments qui la compose, pouvait entrainer une stagnation de ceux-ci dans les intestins, provoquant la prolifération de bactéries attaquant et distendant les liaisons serrées des intestins et amenant un encrassement de l’organisme responsable de divers symptômes et de maladies chroniques.
La thérapeutique du docteur Seignalet et son régime induit donc de faire un grand ménage dans ce que l’on mange. Il convient tout d’abord de ne plus consommer de produits transformés quel qu’il soit. Les différents procédés utilisés par l’industrie en font des produits que nos enzymes ne peuvent métaboliser.
En outre, il faut éviter les aliments dits naturels, mais qui ont en fait largement était manipulés par l’homme. Il s’agit des céréales mutées et notamment le blé: éviter donc les aliments comme le blé dur des pâtes, le grand d’épeautre, le boulgour, le froment qui entrent dans la composition des pâtisseries, du pain). Eviter également le maïs qui a largement été transformé au fil tu temps et est devenu indigeste pour les hommes. Préférez plutôt riz, sarrasin, quinoa, pommes de terre.
Il faudra en outre surveiller la cuisson des aliments et ne pas consommer d’aliments cuits au delà des 140 degrés pour éviter de les altérer et ainsi empêcher nos enzymes de pouvoir correctement les digérer.
Une cuisson au delà des 140°C produirait des composés soit directement nocifs (les réputées molécules de Maillard) ou altérerait la nature des aliments qui ne seraient alors plus reconnus par nos enzymes. Il faut alors préférer cuire la majorité de ses aliments à la vapeur douce, et de baisser la température de cuisson au four quitte à augmenter le temps de cuisson.
A cet égard, certains produits de l’industrie, même en apparence naturelle ne conviennent pas: cela concerne par exemple les produits laitiers qui sont souvent issus de laits pasteurisés à ultra haute température UHT).
Malade chronique ou non: nous sommes tous logés à la même enseigne. Il faut se désintoxiquer des produits que nous sommes incapables de digérer correctement.
Tout comme pour le tabac, il faut apprendre à se sevrer de ces produits qui trichent avec nos sens: exhausteurs de goût, arômes artificiels et sucres en grande quantité, et entreprendre une détoxication alimentaire.
Logiquement éviter les aliments exotiques fréquents (entre autres le kiwi, vanille, café) du fait que nous ne possédons pas les enzymes pour digérer ces aliments. Les oeufs seraient également déconseillés (ou alors crus ou très légèrement cuits).
Manger 50% du volume de notre assiettes d’aliments crus quand l’état des intestins le permet.
Surtout, il faut bien veiller à incorporer ces changement de manière progressive afin de ne pas générer de frustrations (qui vous feraient revenir à vos mauvaises habitudes voire pire).
Vous découvrirez qu’il s’agit d’habitudes à prendre et que loin de vous privez, vous découvrirez de nouvelles saveurs et de nouveaux plats qui raviveront vos papilles.
—> Il s’agit en somme de retrouver une alimentation dite physiologique c’est à dire adaptée à l’organisme et ses capacité enzymatiques. —> Alimentation naturelle non transformée et dont la cuisson est contrôlée.
En supprimant la cause, on stoppe la conséquence
Ce retour à une forme d’alimentation en accord avec la nature n’est pas sans rappeler qu’il existe des liens étroits entre hygiène alimentaire et écologie. On découvre par exemple le danger que représente les OGM, l’huile de palme, la surconsommation de viande, aussi bien sur la santé que sur l’environnement.
C’est pourquoi, un nouveau mode de consommation apparaît et est prôné par « les locavores ». Il consiste à se nourrir de produits bruts issus exclusivement du terroir et transformé de manière contrôlé à la maison.
En plus de diminuer la distance que parcours les aliments et donc de baisser leur empreinte écologique, ils sont mieux adaptés à notre patrimoine enzymatique (notion physiologique dont vous connaissez maintenant la signification et l’importance pour garantir la santé intestinale et la santé globale).
Pour favoriser le rétablissement de la barrière intestinale et aider l’organisme à tendre plus rapidement vers la santé, il faudra également veiller à apporter les nutriments dont les intestins ont besoin pour se restaurer. Les oméga 3 constituent un nutriment indispensable. Ceux-ci peuvent se trouver dans les huiles de noix, de cameline, de colza. Une cuillère à soupe au cours du repas du soir.
Il conviendrait aussi de temporiser les acides qui sont délétères pour la barrière intestinale. Le régime en lui-même, par la consommation de légumes, salades et pommes de terre qu’il propose, permet phénomène. Il peut cependant être favoriser par la prise de plantes et d’épices douces (cumin, anis, fenouil, etc.).
En plus des recommandations alimentaires, certains compléments peuvent se révéler opportuns pour aider les intestins à se régénérer, notamment le permet Régul de chez Copmed, qui permet de fournir l’ensemble des nutriments dont les intestins ont besoin pour se régénérer.
La prise de probiotiques après la cure de Perméarégul permettra aux bonnes bactéries de s’installer dans vos intestins et de réguler leur fonction.
Pour favoriser fonctionnement normal des enzymes, le Dr Seignalet propose également une cure de vitamines, minéraux et oligo-éléments.
Nous avons parlé aujourd’hui de l’impact que pouvait avoir l’alimentation sur les intestins. Sachez que le Docteur Seignalet a également recensé d’autres facteurs qui peuvent mener à une porosité intestinale: médoc (AINS), corticoïdes, antibiotiques (cure longue: délabrement de l’IG), radiothérapie, chimio. D’autres ennemis (RL, pesticides, polluants, tabac,)
Conclusion: « La connaissance des mécanismes responsables des maladies permet de s’en préserver efficacement. (…) Maladies dépendent de trois facteurs principaux: génétiques, environnementaux (alimentation et polluants), et mentaux: stress et émotions » (p221)
Il existe d’autres facteurs pour expliquer la porosité intestinale:
Soigner son hygiène de vie & éviter les causes de porosité intestinale
alcool, tabac, anti-inflammatoire stéroïdiens ou non (agressent directement entérocytes), chimio, métaux lourds, stress (cochon entend cri d’animaux menés à l’abattoir, on retrouve dans le sang de grandes quantités de bactéries intestinales. Le stress rend l’intestin poreux.
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